SamuS
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 | Sujet: Re: Poemes du floodeur  Jeu 26 Juin - 18:02 | |
| Eloge de l'amitié
Qui aurait pu imaginer, il y a 15 ans déjà,
Qu'aujourd'hui encore tu serai là pour moi.
Dans mes joies comme mes peines
Tu es toujours présent identique à toi même.
Concevoir l'amitié tel que je la vie grâce à toi
A fait de moi un être fragile et humain à la fois
Comment exprimer au mieux ma gratitude
A celui qui m'a sorti de ma profonde solitude
Qui ma fait grandir avec lui en partageant cette valeur
Qui à jamais restera ancrée au plus profond de mon coeur
Je me sens donc rassurer de me savoir dans tes pensées
Même si maintenant plus que jamais je suis loin de la maison.
Comme notre amitié s'est un jour transformée en fraternité,
Je serai encore ému et fier d'entendre ton fils m'appeler "tonton"!
A mon ami... mon frère... Merci
Joyeux anniversaire
Aujourd'hui cela fait deux ans que tu es partie,
Deux ans déjà que tu as décidée de sortir de ma vie.
Alors expliques moi pourquoi en mon corps,
Et après le souvenir d'un tel bonheur,
Les seules choses restantes encore
Sont ces promesses bafouées et tellement de rancoeur.
J'ai bien essayé plusieurs fois déjà
De totalement t'oublier, de me changer moi,
Mais rien n'y fait...
Tant de choses ici et là me rappellent que tu as partagé ma vie,
Les souvenirs de ta famille, ceux de tes amis.
J'y ai perdu, ce jour là, bien plus que mon coeur,
Ma vie fût bouleversée et c'est bien là mon malheur.
Amoureux, je ne le suis plus de toi,
J'ai mis de l'ordre dans me vie et ça, je le crois,
Me permet de dire que je suis finalement guéri,
Que je n'ai plus à redouter d'être à nouveau sali...
J'ai deux ans à rattraper, oublions le passé,
Que je puisse connaître enfin l'amour, le vrai, quand il va se présenter...
A toi...
Plus je pense à toi
Et plus ce sentiment s'accroît.
Un vide s'est installé,
Qui ne saura s'en aller,
Tant que je ne t'aurais pas auprès de moi,
Tout contre moi.
Je pourrais te donner tout l'amour
Que j'ai gardé
Dans le but de te choyer.
Oui, je te protègerais jours après jours,
Quoi qu'il arrive, tu pourras compter sur moi,
La vie n'est pas facile, alors je serais là...
Et le jour où tu partiras,
En t'éloignant de moi,
Je me regarderais sourire,
Fier de ce que j'ai pu accomplir.
Cet écrit est pour toi,
Que je ne connais pas
Mais qui me manques déjà.
Partie de moi,
Partie de nous,
Résultant d'un tout...
...Mon enfant.
Avec toi, pour toi, sans toi...
Avec toi, j'avais de nouveau ressenti ce qu'était l'Amour,
Avec toi, j'étais redevenu le jeune idéaliste des premiers jours.
Avec toi, J'ai pensé pouvoir reconstruire un foyer, me reconstruire moi.
Avec toi, la vie était belle, le ciel bleu, j'étais heureux,
Avec toi, j'adorais me réveiller sous le même toit,
Avec toi, je me contentais de peu... du moment qu'on était deux.
Pour toi, j'ai changé mes habitudes, bouleversé ma vie,
Pour toi, j'ai renoncé à tout ce que je m'étais promis.
Pour toi, rien n'était trop beau, trop parfait, trop lointain,
Pour toi, j'ai mis de côté tout ce que j'aimais au plus haut point.
Pour toi, j'ai dis des choses que je croyais enfouies à jamais,
Pour toi, j'aurais pu laisser derrière tout ce que j'avais.
Sans toi, je suis cette coquille vide que j'étais avant de te rencontrer.
Sans toi, c'est douloureux et cela montre qu'il est dur d'oublier.
Sans toi, mon coeur est froid, les jours sont noirs, les nuits glaciales,
Sans toi, je me demande jusqu'à quel point il est possible d'avoir mal.
Sans toi, tout devient pénible, il devient difficile d'écrire,
Sans toi, les larmes coulent, effaçant de mon visage son sourire.
Enflammé… refroidi…
Un jour tu as volé mon cœur,
Le lendemain, fais découvrir le bonheur,
Le jour d’après c’était l’extase, j’étais tiens,
Le coup de foudre m’a emporté comme un rien.
M’aidant à retrouver joie et sérénité à la fois,
J’ai très vite cru en nous, en toi.
L’illusion d’un Amour éternel revenant,
Je retrouvais tous mes sentiments en t’aimant.
Mais comment peut-on se leurrer à ce point ?
Pouvoir être heureux… un avenir commun…
Alors qu’il fallait se protéger, apprendre à se connaître,
J’ai foncé tête baissée, l’erreur à ne pas commettre.
J’étais totalement amoureux de toi malgré nos différences,
Mais l’amour n’est qu’éphémère sans franchise, sincérité, confiance.
Lutter contre une telle évidence fut mon dernier malheur,
Puis toi aussi tu es partie, approfondissant mon aigreur.
Pour exorciser le passé, j’avais tout oublié,
Et les leçons tirées des ces expériences n’y ont rien changé.
Les échecs consécutifs n’aident pas à se reconstruire une vie,
L’amour avait tout envahi et aujourd’hui ronge mon esprit.
L’amour ne s’achète pas.
Je ne sais pas ce qu’il a fait pour te faire pleurer,
Mais je suis là pour te faire rire.
Si tu étais avec moi, je ferais en sorte que l’on ne soit jamais séparés,
Etre loin de toi ces derniers temps me fait trop souffrir.
Je m’en contre fiche si il t’achète de belles choses,
Mais ses cadeaux viennent-ils vraiment du cœur ?!
Je vois bien que la vie avec lui te rend morose,
Ne préférais-tu pas la remplir de joie et de bonne humeur ?!
C’est sur, je n’ai pas de grosse voiture,
Mais pour aller à toi, je marcherais jusqu’au bout du monde.
J’aimerais tant sur toi glissé une couverture,
Te tenir dans mes bras, guérir tes blessures profondes.
De l’amitié à l’amour, il nous reste un pas à franchir,
Scellons à jamais notre destin, donne moi un baisé.
Mon ardeur n’est pas prête de se refroidir,
Laisse moi te montrer la vraie signification « d’être aimée » !
Avant que pour lui tu n’éprouves plus que haine,
Laisse moi t’emporter loin d’ici, toi et ton sourire.
Je suis à genou, priant le jour où tu seras mienne,
Mais mon amour, c’est tout ce que j’ai à t’offrir…
Cauchemar?
Je me réveille en sursaut, j'ai froid,
Je regarde autour de moi, je tombe dans mes pensées.
Je me demande où je suis, loin de toi je crois,
J'ai fait un vilain cauchemar, je suis paniqué.
Je marche dans l'appart, je me pose des questions,
Ou peut elle bien être ailleurs qu'à la maison?
Je tourne, je vire, ne cessant de me retourner l'esprit,
Quel serait le but de mon existence si elle quittait ma vie?
Je me calme, je prends un tabouret, je m'assois,
Réfléchissant à ce qui compte vraiment pour moi,
La première image me venant est ton visage,
La seconde, une autre de toi, faisant tes bagages.
Quels sont ces souvenirs qui me reviennent en mémoire,
Etait ce la réalité ou bien cet horrible cauchemar.
Pleurer me remet les idées en place, Tout me revient maintenant,
Je me rappel que tu es partie, et cela fait déjà deux ans...
AAA (Apprendre A Aimer)
Ca m'a pris du temps pour savoir ce qu'est l'amour
Pourtant, tu me l'as montré, jours après jours...
Je te dois presque tout, avec l'expérience de la vie,
Et pas un seul jour ne passe sans que je t'en remercie.
Beaucoup de gens on cru me mettre à nu, me connaître,
Essayé d'aller creuser plus loin que ce que je voulais paraître.
Certains ont réussi, causant de gros dégats parfois,
Mais jamais personne n'a pu aussi bien me comprendre que toi.
Mes joies peuvent être tiennes comme ton chagrin serait mien,
Il t'arrive souvent de devoir supporter mes petites moqueries.
Même si aujourd'hui ma famille s'est agrandi avec mes amis,
Tu es et resteras à jamais mon premier soutien...
... je t'aime maman.
Torture
Aujourd'hui m'est arrivé ce qui arrive souvent....
Une torture mentale que je suis le seul à m'infligé,
Mon coté féminin exacerbé resortant,
Je pense, je réfléchi, je me perd dans mes pensées...
D'un coup une certitude, l'instant d'apres c'est le flou complet,
Pouvoir s'en tenir à une telle résolution paraissait si simplet ,
Savoir si j'étais faible, sans amour propre et sans fierté...
Comme toujours cela concerne le sexe opposé,
Le sexe faible c'est ainsi qu'on l'appel,
Pourtant pour moi les femmes prennent des allures d'épouventails.
Piétiné, enterré , c 'est sûre elles ont bien fait leur travail,
Jamais je n'aurait du ne serait ce qu'essayé de leur pardonner!
La meilleure solution paraissait claire, il fallait s'isoler,
Tranquile, sans contraintes, mais aussi sans amour en contrepartie.
Mais que peut-il bien se passer à l'intérieur de mon crane, Quelle folie?
Suis-je suffisamment stupide pour replonger, moi qui était si catégorique...
La rencontre dernière de femmes exeptionnelles m'a rendu si euphorique,
Eloignant de ma tête ces idées misogynes et caricaturales...
Mais semant un doute, aggravant mon état mental!!!
Les femmes qui m'ont mis dans cet état n'étaient-elles pas comme celles-la?!
Cet être qui n'est homme que de nom... Ce moi détestable en soi,
Brisé et pourtant debout, cachant sa tristesse derrière son sourire,
Amer au point d'en devenir blessant ,aigri mais avec tant d'amour à revendre...
Nier la réalité serait une erreur, j'ai envi d'aimer et d'être aimé à nouveau quitte à souffrir.
C'est là que l'histoire se corse... vous allez vite comprendre,
Un profond dilemme s'étend de ma tête à mon coeur...
C'est la tête qui choisi mais le coeur qui réagit, horreur,
Qu'en était-t-il donc ce matin de mes belles paroles sur le célibat,
Sur le bonheur d'être seul... de n'avoir à s'occuper que de soi...
La journée passe, je sens venir cette indéniable envie de ne pas rester seul plus longtemps,
De redevenir comme ce jeune idéaliste que j étais à 20 ans...
Et quand arriva le soir, alors que tout ce remue-ménage intellectuel cesse enfin,
pour laissé place à la détente, au repos salvateur et serein,
Au détour de quelques pages, quelques lignes lus, quelques images,
Le poignard revient se planté dans mon sein, mais à cette heure, je me fige,
Mon cerveau met du temps avant de réaliser que ce que venait de provoqué mon coeur,
La réouverture de cette douleur.... me replonge dans mon problème...
Trahisons, mensonges, confiance baffouée, je retombe dans mon passé en pleure,
Amorphe et spectateur de mon déclin, il faut une fois de plus se rendre a l'évidence,
Je ne peux me permettre de retourner dans ces bafonds,
Et pour ce en revenir à l'unique et seule conclusion :
Je peux vivre joyeux et maitre de mon destin,
Même si cela signifie rester seul à jamais, incomplet!
A quoi cela m'a t-il servi d'y penser... je suis comme je suis, moi, l'incomplet.
Rominette...
Vulnérable était le premier mot me venant en pensant à toi,
Mais il est difficile de décrire fragile et forte à la fois.
Plus je te connais et plus je découvre des petits bouts de ton être,
Une belle amitié se construit, la notre n'a pas mise longtemps à naître.
Derrière la timidité, un charactère trempé, un sourire charmeur et une bonne dose de sensibilité,
Il eut été dommage de passer à côté de tant de générosité.
j'étais loin de m'imaginer toutes ces choses dans un si ptit bout de femme
A présent mon souhait est d'être la pour toi, dans le bonheur comme dans les larmes.
Je suis aujourd'hui moins homme de parole que d'écriture,
J'exprime mes sentiments sur le papier, je t'en laisse seule juge à la lecture.
Quoiqu'il puisse arriver, mon affection t'est tout acquise,
Je suis toujours le même, je ne reviens jamais sur une chose promise.
Notre éloignement n'est pour moi qu'un vecteur d'espoir,
Il signifie que j aurais d'autant plus de plaisir à te revoir.
Toi et les tiens m'avez toujours acceuilli comme partie intégrante de la famille,
C'est ce que moi j'appel avoir de vrais amis. | |
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