c'est la première fois que je tente le coup donc excusez moi pour la tournure maladroite.
j'hésitait un peu vu que je suis nouveau sur ce forum, mais bon adviennent que pourra...
Je me surprend moi-même a écrire ces mots, ces envolée lyriques que j’ai toujours réprimé ce que j’ai sur le cœur et que je n’ai jamais osé exprimé, toute cette douleur, cette blessure a vif dans mon cœur qui me torture, jour après jour, nuit après nuit.
J’ai beau savoir que c’est futile, je continue l’aimer, un amour qui me détruit, les rares fois ou j’arrive a trouver le sommeil, celui-ci ne m’apporte que peu de repos, mon cœur est ailleurs, elle occupe sans cesse mes pensées.
Je ne sais que faire, la douleur enfle puis décroît, ce soir, je la sent prête a exploser en moi, elle couve telle les prémices d’un ouragan, un vent de tempête commence a souffler sur mon cœur je résiste je m’y oppose de toute ma volonté ; mais même faite d’acier, la volonté ne peut stopper la puissance des éléments.
Ça y est, elle se déchaîne dans mon esprit, ravage mon cœur et emporte tout sur son passage mettant a nu mes sentiments et les souvenir passé que j’avais espéré enfouir.
Ils reviennent encore et encore, me frappant sans cesse avec toujours plus de violence, des images des mots, nous ensemble, ce jour là, je ne peux l’oublier. Je tente de fuir je ne veut pas revoir encore ces images, c’est inutile, elles sont là et m’assaillent.
Je revoit ce tendre moment, nous, enlacé ; je suis brisé je me laisse emporté par le flot de souvenir, toi allongée sur mes genoux, un pic de glace me traverse le cœur ; une étreinte, un sourire, je ressent la douleur, un coup d’une violence inouï dans mon cœur.
Est-ce fini ? cela s’arrête t’il enfin je le croit mais non, le pire arrive, le souvenir de ce baiser, la douceur de tes lèvres, le bonheur de cet instant volé et ma douleur atteint son paroxysme.
Et je m’effondre, hurlant de douleur, prisonnier dans mon propre esprit, dans mes souvenirs, je hurle pour que cette torture cesse que la douleur sorte.
Bien après, je reprend conscience mes joues sont humides, les larmes coulent a flot, c’est fini, la douleur s’éloigne me laissant ravagé. Je suis épuisé.
Une dernière image revient me hanter, devant mes yeux ton visage apparaît ; je tends le bras pour le caresser et celui-ci s’évanouit, me laissant seul. Je me remets à pleurer.
Je t’aime…
Dimanche 18/11/07 22H18
A Virginie
c'est assez génant je doit dire, malgré la maladresse des mots j'ai l'impression de me montrer nu
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